L'Afrique qui bouge ...Posted 01/11/2012 by Markus"Oui, il paraît que nous somme le continent qui va tirer la croissance mondiale ...
Mais je m'inquiète de la vitesse à laquelle nous mettons en place nos projets de développement, de la corruption qui ne baisse pas malgré les procès et du fait que les jeunes ne rêvent que de fonction publique ... L'État n'a pas vocation à enrichir les fonctionnaires ! Alors que le privé pousse à se fixer des objectifs, à s'améliorer.
Alain-Richard Chedjou Takam, Cameroun, dans Jeune Afrique N° 2703-2704
Le Nord du Mali: Problème récurrent et complexePosted 24/04/2012 by MarkusUne introspection des agences de coopération s'impose par rapport à l’efficacité, l’effectivité et la durabilité de leurs appuis.
Read more...Dans une interview accordée au quotidien sénégalais Sud Quotidien (v. notre revue de presse), le Commissaire Européen pour le Développement, M. Andris Piebalgs, déclare « Le Nord du Mali a été négligé pendant une longue période. Nous avons commencé un programme de développement dans cette zone géographique il y a au moins cinq ans, mais l’accès aux infrastructures de base, tout comme les routes, sont des défis permanents. Les populations n’ont pas été impliquées et pensent que le Sud du pays profite le plus de l’appui au développement de l’UE et de toutes sortes de développement économique. »
Ses propos sont trop réducteurs et n’offrent pas l’opportunité de revoir l’approche de la coopération par rapport aux problèmes récurrents au Nord du Mali.
Réducteurs, car ils résument le problème du Nord du Mali au problème de captation des ressources (même si importantes) de la coopération européenne.
Or, le conflit au Nord de Mali, qui oppose les Touareg à l’Etat, date au moins depuis l’indépendance du Mali. La dernière révolte des Touareg remonte à 1992, il y 20 ans. Depuis, plusieurs coopérations avec la participation de la population et notamment des Touareg ont accompli un important travail de reconstruction et de développement : des routes, des écoles, des mairies, … ont été construites, l’accès à l’eau potable et à la micro-finance facilité… beaucoup de ces infrastructures sont aujourd’hui détruites et encore une fois à reconstruire.
Construction et reconstruction montrent que ce ne sont pas les infrastructures seules qui comptent. Comme disait Amartya Sen, le prix Nobel de l’économie : le développement c’est la liberté.
Autrement dit, il aurait était intéressant que Monsieur Piebalgs fasse une analyse plus profonde du conflit au lieu de proposer un peu trop systématiquement une solution de nature financière.
Le problème du Nord du Mali est récurrent et complexe. C’est donc l’occasion d´une introspection des agences de coopération par rapport à l’efficacité, l’effectivité et la durabilité de leurs appuis.
France-Allemagne : Un choix socialPosted 22/04/2012 by MarkusCe n’est pas le modèle qui compte mais le choix social
Read more...Aujourd’hui les français sont appelés à voter leur nouveau président.
Le modèle allemand a été souvent au centre des débats dans la présidentielle française et très controversé.
A l’occasion du vote d’aujourd’hui, voici une remarque, voir une introduction à toute comparaison des systèmes socio-économiques français et allemand.
Au contraire de ce qui prônait Monsieur Sarkozy, il ne s’agit pas d’un « modèle » allemand mais d’un « choix » de la société allemande. C’est une nuance importante, car un « modèle » fait allusion à une réplication souvent d’une façon passive et imposée.
Cependant, un choix c’est une ACTION qui pend en compte des principes, des valeurs et des expériences des acteurs.
Pour mieux comprendre le choix social des allemands, il faut connaitre 2 principes bien ancrés dans l’esprit et dans la constitution allemande :
1. L’Etat = la communauté (la société). Il doit être au service de la communauté. Les droits et les obligations de chaque citoyen envers l’Etat (la société) évoluent selon les conditions internes et externes qui traversent la société.
2. Le principe de la SUBSIDIARITÉ, qui signifie : aides-toi toi-même avant que la société (l’Etat) vienne à ton aide. Seulement après tes efforts, la communauté est obligée de t’apporter l’aide (sociale).
Au contraire de ce qui prônait Madame Aubry, ceci permet comprendre p.e. l’arrangement de « Kurzarbeit ». C’est un arrangement entre l’Etat, les employés et les employeurs qui permet à une entreprise de conserver ses employés quand les carnets de commandes sont vides. Les employés travaillent moins par semaine, l’employeur paye seulement les heures effectuées et l’Etat complète une partie des pertes. Un arrangement gagnant-gagnant pour les 3 parties: les employés conservent leurs postes de travail, l’employeur évite la faillite, et la société (l’Etat) réduit les coûts sociaux.
Cet arrangement requière les 2 principes de base cités ci-dessus : la flexibilité des parties concernées de s’adapter aux conditions de marchés et la volonté de s’aider soi-même avant que la société (l’Etat) soit obligée d’intervenir.
Bien évidemment, comme tous les choix, le choix social allemand produit des effets positif et négatif. C’est inévitable et ce n’est pas en soit mauvais, sauf si on croit au paradis sur terre.
Ce n’est pas le modèle qui compte mais le choix social. La question est donc, quel est mon choix social et comment je peux y contribuer : Je m’engage pour quoi ?
For your successful venture-start-up in 2012Posted 04/02/2012 by MarkusFor your venture-start-up in 2012, read the top 3 of our press revue for entrepreneurs:
1. How to Accomplish the Impossible?
2. Leadership Lessons from the Dalai Lama
3. Scaling A Business
A positive attitude, creativity and determination combine to create genius.
Happy New Year - 20Twelve!Posted 28/12/2011 by MarkusIDEATUM wishes you a happy and successful 20Twelve with African good news story from Cape Verde!
Read more...IDEATUM wishes you a happy and successful 20Twelve with African good news story from Cape Verde!
Financement des PME - L’avis de l’expertPosted 15/12/2011 by MarkusLa tendance c’est l’intérêt croissant des investisseurs locaux et étrangers à l’économie africaine qui « obligera » également les PME à appliquer des méthodes et des règles universelles de gestion
Read more...Dans beaucoup des pays africains les petites et moyennes entreprises (PME) représentent une large majorité d’entreprises privées et un important pôle d’emploi dans l’économie formelle et notamment dans l’économie informelle.
La volonté politique de faire des PME le moteur de croissance et de création de l’emploi est depuis des années affichées. Or, dans la pratique, elle se heurte au défit de l’accès au financement pour les besoins d’expansion et d’investissement des PME.
Les PME reprochent aux institutions financières, notamment les banques, d’être trop frileuses et trop exigeantes. Les crédits bancaires aux PME sont peu développés et ne correspondent pas à leurs besoins. On estime que dans la zone UEMOA ils ne représentent qu’environ 30% de l’activité totale de crédit des banques, en plus les engagements auprès des PME sont majoritairement sur le court terme.
Les banques, en revanche, « se plaignent » que les PME sont des clients les moins fiables en matière de recouvrement (2/3 des contentieux bancaires) et que leur taux de mortalité est beaucoup plus élevé que celui des grandes entreprises. En outre, les banques indiquent qu’elles consacraient 60% du temps d’analyse d’un dossier PME à la réunion des documents nécessaires et que le manque de base documentaire viable les empêche d’analyser clairement des risques. Ainsi, le coût d’instruction de chaque dossier PME augmente jusqu’à ce que ces dossiers deviennent moins rentables.
Comment améliorer ce difficile dialogue et relever le défit d’accès au financement pour les PME ? Nous avons demandé l’avis de l’expert, Gabriel Fal. Il est analyste financier, fondateur et PDG de CGF Bourse et CGF Finance, la Compagnie de Gestion Financière et de Bourse basée au Sénégal.
Quels sont les défis du dialogue entre les PME et le marché financier (banques, investisseurs institutionnels et privés) en Afrique d’Ouest ?
Au niveau du marché financier on constate le manque des instruments financiers dédiés aux PME mais également le manque de proximité et des services d’accompagnement. Au niveau des PME c’est le manque de la transparence financière et d’application des méthodes et règles de gestion universellement reconnus.
Quelle est la tendance et quels sont les besoins du marché financier en Afrique pour accompagner les PME dans leurs stratégies d’expansion et d’investissement ?
Il faut d’abord définir les mots « accès au financement » et « PME ». « L’accès direct » au marché financier ne peut être intéressant que pour des PME d’une certaine taille : Prenez en compte que le montage d’un dossier de financement nécessite en règle générale 6 mois et coûte environ FCFA 50,0 millions. Cela n’est intéressant que pour des entreprises avec un chiffre d’affaire à partir 4,0 ou même 5,0 milliards de FCFA. Concernant « l’accès indirect » des PME au financement, il est offert par des institutions spécialisées. Prenez l’exemple des institutions de la micro-finance (IMF), elles empruntent auprès du marché financier pour ensuite prêter aux très petites entreprises (TPE) sous forme des crédits dédiés selon une méthodologie adaptée à celles-ci.
Aujourd’hui sur le marché financier de l’UEMOA vous pouvez constater un vide par rapport aux offres de crédits PME entre environ 50,0 millions et 1,0 milliard de FCFA. C’est l’échelle des besoins des PME. D’où la nécessité des instruments et outils dédiés aux PME, mis en place par des institutions spécialisées.
Autrement dit, nous avons besoin des « Banques de PME » locales offrant à la fois la proximité et le savoir faire dédiées aux PME. La tendance ou plutôt l’objectif c’est un marché financier inclusif.
Quelle est la tendance et quels sont les besoins des PME pour accéder au financement de leurs stratégies d’expansion et d’investissement ?
L’accès au financement formel requière également des PME l’application des méthodes et règles universelles de gestion. La lecture d’un dossier PME, de son bilan, de sa comptabilité et de sa performance, traduit le comportement du chef d’entreprise dans les affaires. C’est donc à lui de convaincre le banquier, qui a l’obligation de sécuriser le crédit. Par conséquent, les outils simples et pratiques ainsi que la formation en gestion des PME sont des compléments aux institutions et instruments de crédit dédiés aux PME. Deux faces d’une même médaille pour faciliter aux PME l’accès au financement. La tendance c’est l’intérêt croissant des investisseurs locaux et étrangers à l’économie africaine qui « obligera » également les PME à appliquer des méthodes et des règles universelles de gestion.
About Incentives and BehaviorPosted 01/12/2011 by MarkusSet the right incentives to get the right behaviour!
Read more...When consulting a West African Government on improving the performance of its commercial court we were told the following (true) story:
A local lawyer delayed a case in the commercial court for many years. When his son became a lawyer, he was proud finishing his first case in only few months, his father’s case.
When he asked his father, why he needed all this time to deal with the case, his father responded: “Son, to pay your tuition fees!”
The moral of that story: Set the right incentives to get the right behaviour!
Europe at a glance 2011Posted 21/11/2011 by MarkusCrises? What crises? Financial, economic, social or political?
Read more...Crises? What crises?
Financial? Are the bond prices a cause of recession and high unemployment rates making the politics to victims? Goldman Sachs rules the world?
Economic? Are the economic fundamentals (low growth expectations and high public debt) the cause of high risk adjusted bond prices? The economic model needs to change?
Social? Are our societies, in particular in Europe, rigid to changes, pegged to yesterday's achievements, in a steady changing world? Who Moved My Cheese?
Political? Aren’t we responsible for all political decision, in particular in democracies? Are we usally voting for necessary political actions or for comfortable promises?
Take a quick look at the following indicators:
10 year bond prices in Europe:
Germany 1.78 %
France 3.66 %
Belgium 4.85 %
Spain 6.27%
Italy 7.05
Portugal 10.95 %
Greece 23.4 %
GDP growth 3rd quarter 2011:
Germany +0.5 %
France - 0.4 %
Belgium 0.0 %
Spain 0.0 %
Italy ?
Portugal -0.4 %
Greece - 5.2 %
Public debt in % of GDP:
Germany 83.2 %
France 81.7%
Belgium 96.8%
Spain 60 %
Italy 120 %
Portugal 93.0 %
Greece 142 %
Age of retirement:
Germany 67
France 62
Belgium 65
Spain 65
Italy 65
Portugal 65
Greece 65
Unemployment rates:
Germany 6.5 %
France 9.0 %
Belgium 6.7 %
Spain 22.0 %
Italy 8.2 %
Portugal 12.0 %
Greece 17.8 %
Re-branding Africa or how to avoid a negative boomerang effectPosted 03/11/2011 by MarkusIt will only be achieved, if the fundamentals, are right. Otherwise, the boomerang effect will hit very hard
Read more...
There are these commercials which leave you confused. Take this one on Wallonia, currently broadcasted on euronews: Beautiful landscape mixed with powerful music and a strong message of technology lead and best conditions for investors in the heart of Europe. But how does it go together with the 5-minutes-ago-news on the “political instability” of Belgium? Does Belgian administration currently have time to attract and take care of me as a new investor?
The same confused state of mind (and money loss!) may be the result of “Re-branding Africa” the key point of many African countries’ action plans, if some fundamentals are not right.
If these initiatives are not speaking about change, but acting to change, “Rebranding Africa”, should not be seen as a mean but as an objective. It will only be achieved, if the fundamentals, like investment climate, property rights protection, client services, etc., are right. Otherwise, the boomerang effect will hit very hard causing long time recovery period for the image of African countries.
The African leaders have an important role to play, in particular through an active support of investment climate reforms. Get investors to spread a positive word on Africa is the best and at the same time cost-effective way of “Rebranding Africa”.
Check e.g. the Investment Climate Initiative for concrete actions and tangible results to “make Africa a better place to do business”.
Climat des affaires – the Apple Store IndexPosted 18/10/2011 by MarkusChacun de nous aimerait être le roi quand il dépense son argent durement gagné. Mais tout le monde n’a pas cette chance. Cela dépend largement du climat d’investissement de votre pays !
Read more...Vous allez être impressionné par un apple store aux Etats Unis. Et cela, pas seulement à cause de son architecture moderne, lumineuse et spacieuse, mais surtout par la qualité de son service. Etre un client dans un apple store, c’est d’être servi comme un roi ! Plusieurs agents, jeunes et agréables, sont à votre disposition pour répondre avec patience à toutes vos questions. Vous pouvez toucher, explorer et tester chaque produit. Et même si vous abusez le service en surfant sur l’internet pendant des heures et en répondant à vos emails, le jeune et agréable agent en bleu, s’excusera de vous interrompre pour montrer le nouvel apple book à un client, qui lui est prêt à l’acheter.
Ce service exemplaire est dû à 2 facteurs fondamentaux : Premièrement, le client a le choix d’acheter votre produit ou celui de votre concurrent. Deuxièmement, le salaire de l’agent dépend de sa performance, c’est-à-dire du chiffre d’affaires.
Chacun de nous aimerait être le roi quand il dépense son argent durement gagné. Mais tout le monde n’a pas cette chance. Cela dépend largement du climat d’investissement de votre pays, c’est-à-dire de la réglementation des affaires comme p.e. la création de l’entreprise, la protection des investisseurs, le commerce transfrontalier, l’exécution des contrats et le code de travail.
Selon l’actuel “Doing Business Rapport” de la Banque Mondiale, qui classe le climat des affaires dans 183 économies, d’Afghanistan au Zimbabwe, “c’est dans les pays à revenu élevé de l’OCDE qu’il est le plus facile de faire des affaires et c’est en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud que cette pratique est la plus difficile”.
Comme le Big Mac Index de parité de pouvoir d'achat, un Apple Store (Index) avec son service extraordinaire pourrait témoigner d’un climat des affaires sain. Le premier apple store a ouvert aux Etats-Unis en 2001. Aujourd’hui, plus que 90% des 315 apple stores sont situés dans les « top ten » des pays réformateurs en climat des affaires. C’est seulement il y a un an, que le premier apple store a ouvert ses portes en France (placée 26), et seulement en 2010 en Espagne (placée 49). Soyez donc vigilant, si un apple store ouvre prochainement dans votre pays !
Investment climate matters – the Apple Store IndexPosted 17/10/2011 by MarkusEvery one of us wants to be a king, when spending our hard earned money. But not everyone can. It depends largely on your country’s investment climate
Read more...You will be impressed when you go shopping in an apple store in the USA, not only by its modern, bright and spacious architecture but also by its service. As an apple client you’re the king! Several young and gentle apple agents, are at your disposal to answer patiently all your questions. You can touch, explore and test every apple product. And even if you may abuse the apple store for surfing and chatting on the web or checking your emails for hours, the young and gentle blue apple agent will excuse himself, when interrupting you for showing the apple book to another client who really wants to buy it.
This works mainly because of 2 fundamentals: First, the client has a choice to buy your or the competitor’s product. Second, the agent’s remuneration depends on his performance, i.e. on the sales.
Every one of us wants to be a king, when spending our hard earned money. But not everyone can. It depends largely on your country’s investment climate, i.e. its regulations of business activity such as starting a business, protecting investors, trading, enforcing contracts or employing workers. According to the World Bank’s “Doing Business Report 2011”, which assesses the investment climate in 183 economies from Afghanistan to Zimbabwe, “doing business remains easiest in the high-income economies of the OECD and most difficult in Sub-Saharan Africa and South Asia”.
Alike the Big Mac Index of purchasing power-parity, an Apple Store (Index) with its outstanding service may stand for a sound investment climate: The first apple store opened in 2001 in the USA. Today, more than 90% of 315 apple stores are situated in the top ten countries of the doing business ranking. It’s only a year ago, that the first apple store opened in France (ranked 26), and only this year in Spain (ranked 49).
So watch out, if it opens in your country!
Le profit avant une Porsche!Posted 10/10/2011 by MarkusLa comptabilité pour les PME ce n’est pas une affaire compliquée et en plus un outil « payant » !
Read more...Dans notre collaboration avec les PME en Afrique de l’Ouest, nous constatons que la trésorerie d’une entreprise, le cash flow, est souvent considérée et dépensée comme s’il s’agissait de profit. Pourtant, les calcules des marges, des projections du chiffre d’affaires, et des dépenses, sont des principes de base d’une bonne gestion d’une entreprise. Les chefs des PME sous-estiment souvent l’importance des procédures comptables et financière et d’une comptabilité à jours. En même temps, ils sont constamment à la recherche de financement pour couvrir leurs besoins en fond de roulement et en investissement. Toutefois, ces deux aspects, la comptabilité et le financement représentent deux faces de la même médaille. Pour une PME, ajuster des paiements des clients en adéquation à ses propres obligations financières tels que salaires et fournisseurs peut déjà résoudre une grand partie des problèmes de trésorerie. Pour d’autres, c’est le recours aux investisseurs ou aux banquiers. Dans les deux cas, une comptabilité à jour est indispensable.
La comptabilité pour les PME ce n’est pas une affaire compliquée et en plus un outil « payant » !